اتحداك تعرف هذا الفنان ....

السلام عليكم ياشباب حبيت اضع لكم رسمه من قصة مصوره لفنان واذا كنتم تعرفون اي شي عن هذا الفنان فياحبذا تشاركوننا بها ومع ذلك فاتحداكم انكم تعرفوه ..

هذه رسوم للفنان Thierry Smolderen

:cool:

بعد الدراسات والبحوث اللي اجريتها اتضح لي ان الفنان اللي رسم
هالشغلات هو اللي قال عنه شاهين ... :cool: .. (Thierry Smolderen كأنه أسم لاعب كورة!!)

اخييييه فاتتك هذي المره ياستاذ شاهين انت والاخ " هارد روك " لا ماهو هذا الفنان على العموم هذا فنان ايطالي وصراحه رسومه فيها بعض العنف وساضرب لكم مثل واااااضح جدا وارجوا ان لاتواخذوني على عرضها ...

أنريكو ماريني صح؟؟

<مشيك الجووجل..
أمم مادري بس لغة صفحته فرنسية مو إيطالية.. يمكن يكون فرنسي @@

الرسمات مو عنيفة مرة بالمناسبة:p

يعطيك العافيه يااخ تويا صح هو الفنان انريكو ماريني وتقوم بنشر البوماته شركة دارجود الفرنسيه علشان كذا جميع المواقع التي تتكلم عنه فرنسيه ولاكن بصراحة ابغى اسئلك انت والاخ شاهين والاخ هارد روك كيف تبحثون عن رسمه لفنان ماتعرفون اسمه واخصك انت بذات يااخ تويا لانك عرفت اسم الفنان وصراحه ويش رايك في رسومه وتلوينه ؟

أمم أنا شخصياً أستعملت واحد من الملفات وبحثت عنه في محرك بحث www.google.com في قسم الصور. وبعدين لما لقيت الصورة استعرضت الصفحة اللي هي فيها وفصفصت الصفحة شوي بمترجم Altavista... (وفي الصفحة اللي كنت فيها اسم الرسام كان مكتوب فوق)

بالنسبة للرسام صراحة رسمه ممتاز! أحب أنا الرسامين الأروبيين خصوصاً لأن أغلب أعمالهم ملونة كاملة! وعندهم أفكار تختلف عن اليابنينين. آخر ناس أحس أن لي أرتباط برسمهم هم الأمريكيين :p

اها... صح.. هذا لأن الصفحات بالفرنسي اظن الاسم اللي حطيته هو المؤلف وكاتب السيناريو هههههههههههه كنت متسرع في البحث ههههههههه

بس اخ عزيز ليش ماتعطينا نبذة عنه.. لأن رسومه عجبتني جدا:)

شكرا يااخ تويا على هالمعلومه وكان ودي ياستاذ شاهين اني اعطيكم نبذة عن هذا الفنان ولاكن كل الكتابات عنه كانت بلغه غير انجليزيه ـ على اساس اني اعرف انجليزي ...ياحلالات ـ وانا ثقافتي عربيه ولاكن علشان ماتزعل اعرض لك اظنها مقابله مع هالفنان او مقطع من سيناريو احد القصص واتمنى لو واحد يعرف هذي اللغه انه يترجمها لنا
Marini a hérité de ses origines italiennes un sourire enjôleur et un incontestable sens de la séduction (demandez donc aux lectrices présentes lors des séances de dédicaces). Rigueur et professionnalisme : son éducation suisse n'est pas usurpée. Considéré comme un dessinateur surdoué par beaucoup de ses pairs, il sort en septembre un cinquième album de Gipsy en compagnie de Smolderen. L'occasion était trop belle pour ne pas revenir sur les trois séries qu'il dessine par ailleurs et sur ses projets.
Gipsy: le nomade du XXe siècle.
Quand on observe Gipsy, on s'aperçoit que la série a complètement évolué depuis ses débuts. L'aspect manga a disparu, le style s'est affirmé... Comment vois-tu cela ?
En fait ces cinq albums s'étalent sur plusieurs années durant lesquelles j'ai aussi fait autre chose. C'est une évolution naturelle. J'ai subi différentes influences: les mangas au début et, par la suite, la peinture, le cinéma ou, encore, l'influence d'autres auteurs qui ont pesé sur mon travail comme Giraud, Cabanes et Prado. La liste serait longue, mais, ce qui est sûr, c'est que je me suis nourri de plein de choses qui ne se limitent pas à la bande dessinée.
Le nouvel album de Gipsy est-il dans cette évolution naturelle ou peut-on dire qu'il y a quand même une rupture, dans les couleurs par exemple ?
C'est clair que changer de style dans une même série est à éviter. Mais, quand on commence une série, on ne sait jamais comment on va dessiner dans plusieurs années. Cette rupture existe-t-elle ? En tout cas la façon dont j'ai dessiné ce Gipsy (L'Aile Blanche) me convient complètement surtout que j'ai enfin acquis une certaine aisance, notamment dans la mise en couleur.
Jean Dufaux, dans la préface de L'Aile Blanche, qualifie Gipsy de personnage foncièrement "rebelle". Caractère fonceur, goût immodéré pour l'action... C'est en fait une vraie brute: tu n'aurais pas envie de lui donner un profil différent, d'en faire un héros plus clean ?
Non, surtout pas ! (Rires.) Gipsy tient à deux choses : son camion et sa sœur. C'est une brute, mais une brute sensible. Il a un bon fond. Et puis on ne l'épargne pas, on se moque même de lui pas mal de fois ! Mais son envie de liberté (n'oublions pas que c'est un Gitan) et son côté baroudeur le rendent plutôt sympa. Simplement il ne faudrait surtout pas qu'il soit plus "sympathique" sinon, il perdrait toute sa personnalité. Sa sœur est son contraire, elle est fragile, intelligente, subtile. Même ses ennemis sont parfois plus raffinés que lui : on ne lui épargne rien !
Nous sommes dans les années 2030. Votre vision du monde, à Smolderen et à toi, n'est guère réjouissante...
C'est d'abord un monde dans lequel on peut vivre des choses de façon romanesque. Ce n'est pas une vision de fin de monde avec guerre nucléaire, etc. Mais comme c'est dans le futur il y a forcément des changements, comme cette menace écologique avec le trou d'ozone. Le côté SF c'est plutôt le regard de Thierry Smolderen, mais dans l'ensemble Gipsy reste réaliste.
Si Gipsy était un film ?
Il y a du Blade Runner, du Cinquième élément, de l'Indiana Jones, du Mad Max... Ce serait en tout cas un film d'aventure au budget de 100 millions de dollars (moitié pour les auteurs, c'est négociable).
Dans la nouveauté vous évoquez le cas des sectes. Un sujet qui vous tient à cœur ?
Oui, ce n'est pas qu'un prétexte. &Agrave; travers le personnage de la sorcière sur laquelle on apprend des tas de choses, on aborde le sujet. C'est elle le personnage principal de cette histoire et ce qui tourne autour d'elle, comme la secte de L'Aile Blanche, fait forcément peur. Cette secte est inquiétante parce qu'elle a un grand pouvoir et qu'elle existe depuis longtemps. Les sectes ont cet aspect inquiétant et fascinant à la fois. C'est sans doute pour cela que de nombreuses personnes se laissent abuser...
Rapaces : la patte de jean Dufaux
Rapaces c'est pour l'instant un album réalisé avec Dufaux. As-tu été surpris de l'immédiat bon accueil ?
C'est agréable, mais je ne sais pas dans quelle mesure l'effet nouveauté a joué. On verra plus précisément l'accueil du public à la sortie du tome 2, en janvier.
Là encore tu abordes un thème fantastique...
Pour moi, Rapaces, c'est du polar-fantastique avec, en toile de fond, une histoire de vampires. Le décor est planté !
On sent la patte de jean Dufaux dans l'ambiance de Rapaces. On sent aussi que tu te fais plaisir...

ترجمة Babel Fish التابع لAltavista للمقال..

اللغة فرنسية.. بس المترجم يلقط كلمتين صح واربع يبقون فرنسيات.. الله يعينكم تفهمون شي.

Marini inherited of its Italian origins a smile enjolor and an undeniable direction of the seduction (thus ask the lectrices present at the time of the meetings of dedications). Rigour and professionalism: its Swiss education n'est not usurped. Regarded as an exceptionally gifted draughtsman by much of its pars, it leaves in September a fifth album Gipsy in company Smolderen. L'occasion was too beautiful not to reconsider the three series qu'il draws in addition and on its projects. Gipsy: the nomad of the XXe century. When one observes Gipsy, one s'aperçoit that the series completely evolved/moved since its beginnings. L'aspect manga disappeared, the marked style s'est... How do you see that? In fact these five albums s'étalent over several years during which j'ai also made another thing. C'est a natural evolution. J'ai been subject to various influences: the mangas at the beginning and, thereafter, the painting, the cinema or, still, l'influence d'autres authors which weighed on my work like Giraud, Cabanes and Prado. The list would be long, but, which is sure, c'est that I nourished myself of full with things which are not limited to the comic strip. The new album of Gipsy it in this natural evolution is or can one say qu'il has a rupture nevertheless there, in the colors for example? Clear C'est that to change style in the same series is to be avoided. But, when a series is begun, one never knows how one will draw in several years. Does this rupture exist? In any case the way in which j'ai drawn this Gipsy (L'Aile Blanche) is appropriate to me completely especially that finally acquired j'ai a certain ease, in particular in the setting color. Jean Dufaux, in the White foreword of L'Aile, qualifies Gipsy of character fundamentally "rebelle". Character go-ahead type, immoderate taste for l'action... C'est makes true rough: you do not n'aurais desire for giving him a different profile, d'en to make a hero more clean? Not, especially not! (Laughter.) Gipsy is due to two things: its truck and its s?ur. C'est rough, but rough sensitive. It has a good bottom. And then one l'épargne not, one makes fun even of him not badly of time! But its desire of freedom (did not n'oublions that c'est a Gipsy) and its side fighter make it rather sympathetic. Simply qu'il would especially not be needed is more "sympathique" if not, it would lose all its personality. Its s?ur is its opposite, it is fragile, intelligent, subtle. Even its enemies are refined sometimes than him: nothing is saved to him! We are in the years 2030. Your vision of the world, in Smolderen and you, n'est hardly amusing... C'est d'abord a world in which one can live things in a romantic way. This n'est not a vision of end of world with nuclear war, etc. But like c'est in the future there are inevitably changes, like this ecological threat with the hole d'ozone. Side SF c'est rather the glance of Thierry Smolderen, but in l'ensemble Gipsy remains realistic. If Gipsy were a film? There is of Blade Runner, the Fifth element, l'Indiana Jones, Mad max... It would be in any case a film d'aventure with the budget of 100 million dollars (half for the authors, c'est negotiable). In the innovation you evoke the case of the sects. A subject which holds you with c?ur? Yes, this n'est not qu'un pretext. &Agrave; through the character of the witch on whom one learns from the heaps of things, one tackles the subject. C'est it it principal character of this history and what turns around d'elle, like the sect of L'Aile Blanche, makes fear inevitably. This sect is worrying parce qu'elle A a great capacity and qu'elle exists for a long time. The sects have this aspect worrying and fascinating at the same time. C'est without doubt for that that many people let themselves misuse... Raptors: the leg of Jean Dufaux Raptors c'est for l'instant an album carried out with Dufaux. Were you surprised of l'immédiat good reception? Pleasant C'est, but I do not know l'effet innovation up to what point played. One will more precisely see l'accueil of the public at the exit of volume 2, in January. There still you approach a fantastic topic... For me, Raptors, c'est of polar-fantastic with, in background, a history of vampires. The decoration is planted! One feels the leg of Jean Dufaux in l'ambiance of Raptors. It is also smelled that you give yourself pleasure...